Exit les JO, place aux Jeux Paralympiques ! Du 28 août au 8 septembre 2024, nos para-athlètes vont vivre leurs Jeux. Ils seront 20 Bourguignons-Franc-Comtois à enfiler la tenue « Bleu Blanc Rouge ». Volley assis, goalball, rugby fauteuil, para-tennis et para-tennis de table… On espère une nouvelle pluie de médailles pour nos champions !
Rugby fauteuil : 2 + 1 qui font 3
Ils seront trois à défendre les couleurs de la Bourgogne-Franche-Comté au sein de l’équipe de France de rugby fauteuil. Corentin Le Guen fait figure d’ancien. Après Rio (7e en 2016) et Tokyo (6e en 2021), Corentin veut franchir un nouveau palier avec les Bleus. Licencié à Nuits-Saint-Georges (21), le jeune papa veut vivre ses jeux à fond : « On a un niveau tout autre que celui de Rio ou Tokyo. Ça va être dingue de jouer devant notre public, nos amis. »
Sébastien Verdin, le Dijonnais (21), s’attend lui aussi à vivre de grands jeux : « J’ai fait le choix de stopper le basket pour être focus à 100 % rugby et sur Paris 2024. Les jeux, c’est un rêve d’enfant. On nous annonce 8 000 spectateurs pour nous soutenir, ça va être dingue ! »
Jordan Ducret, Sébastien Verdin et Corentin Leguen et Jordan sont prêts. Photos : Sophie Ducordeaux – Baptiste Paquot.
Expatrié en Vendée, l’icaunais (89) Jordan Ducret tentera de son côté à prendre une revanche sur le sport : positif au COVID lors de son arrivée à Tokyo en 2021, il avait dû suivre ce qui devait être sa première aventure Olympique isolé, dans une chambre d’hôtel japonaise de 10 m2 sans fenêtre. Un traumatisme, qu’il a transformé depuis en force : il aborde Paris 2024 – sa première Olympiade donc – avec les crocs.
Pour suivre Corentin Le Guen, Sébastien Verdin et Jordan Ducret :
France / Danemark : jeudi 29 août, à 17h30
France / Australie : vendredi 30 août, à 19h30
France / Grande-Bretagne : samedi 31 août, à 19h30
Demi-finales : Dimanche 1er septembre
Finales : Lundi 2 septembre (13h30 : bronze – 19h30 : or)
Natation – Hector Denayer : la pépite
Atteint d’agénésie à la main gauche (il lui manque les cinq doigts), Hector fait partie des grands espoirs de la natation paralympique. En 2023, à seulement 18 ans, il montait sur son premier podium mondial à Manchester, sur sa distance de prédilection : le 100 mètres brasse. Cette saison, il a confirmé sur 200 m 4 nages en prenant la médaille d’argent à Funchal (Portugal). Initialement programmé pour Los Angeles 2028, le membre de l’Alliance Dijon Natation a déjà les armes pour aller chercher une médaille à Paris.
Hector Denayer, une grosse chance de médaille pour la délégation paralympique française. Photo : Ralf Kuckuck.
Pour suivre Hector Denayer :
Vendredi 30 août 2024 : 100 m brasse, catégorie SB9. Série le matin, finale à 19h09
Lundi 2 septembre 2024 : 50 m nage libre, catégorie S9. Série le matin, finale à 17h52
Lundi 2 septembre 2024 : relais 4 X 100 m mix, 4 nages. Série le matin, finale à 20h09
Jeudi 5 septembre 2024 : 200 m 4 nages, catégorie SM9. Série le matin, finale à 18h30
Vendredi 6 septembre 2024 : 100 m papillon, catégorie S9. Série le matin, finale à 18h34
Triathlon – Trois Jurassiens reconvertis en guides pour déficients visuels
Anne Henriet (en haut à gauche), Cyril Viennot (en bas à gauche) et Julie Marano (à droite) viseront tous les trois le podium sur l’épreuve de para-triathlon. Photos : Xavier Ducordeaux.
Ça risque d’être la très belle histoire des jeux Paralympiques. Cyril Viennot et Anne Henriet sont en couple dans la vie. Installés à Dole (39), ces triathlètes aguerris enfileront le costume de guides pour accompagner les déficients visuels Thibaut Rigaudeau et Héloïse Courvoisier. Chez les hommes, le duo visera le podium, après avoir échoué à la quatrième place il y a trois ans à Tokyo. Anne et Héloïse partiront dans la peau d’outsider : Sixièmes mondiales, elles sont montées sur le podium des deux dernières coupes du monde : un signe ?
Quant à Julie Marano, née à Lons-le-Saunier, elle fera la paire avec l’athlète Annouck Curzillat. Les deux jeunes femmes se sont rencontrées en 2021, et forment le duo depuis 2022. Ensemble, elles sont devenues vice-championnes d’Europe en 2023, et médaillées de bronze aux championnats du monde la même année. Un podium est attendu.
Pour suivre Cyril Viennot, Anne Henriet et Julie Marano :
Dimanche 1er septembre, 12h00
Tennis de table – Léa Ferney : après l’argent, l’or ?
Médaillée d’argent à Tokyo, Léa Ferney vise le titre paralympique à Paris. Photo : DR
A seulement 17 ans, la pongiste Léa Ferney créait la sensation à Tokyo, il y a trois ans. Elle devenait la première représentante française du sport adapté à disputer une finale paralympique et décrochait une magnifique médaille d’argent. Un an et demi après, la Dijonnaise (21) se parait d’or aux championnats du monde de Grenade (Espagne). Une ascension fulgurante, qu’il a fallu gérer : moins performante depuis un an, Léa monte malgré tout en puissance et sera l’une des meilleures chances de médailles de nos athlètes cet été.
Pour suivre Léa Fernay :
Lundi 2 septembre, 18h30 : huitième de finale
Mardi 3 septembre, 19h15 : quart de finale
jeudi 5 septembre, 10h00 : demi-finale
jeudi 5 septembre, 17h00 : finale
Tir à la carabine : une double chance avec Cédric Fèvre et Pierre Guillaume-Sage
En tir à la carabine, la région Bourgogne-Franche-Comté présentera deux candidats : un novice, en la personne de Pierre Guillaume-Sage : atteint d’une arthrite juvénile dès l’âge de 2 ans, le bisontin (25) de 24 ans a découvert le tir à la carabine un peu par hasard, à 11 ans, lors d’une… fête de village à Moncey, non loin de chez lui. Depuis, il ne cesse de progresser et d’étonner : il remporte deux titres de champion du monde en 2023 au Pérou : carabine 10 m couché R5 individuel et par équipe.
Cédric Fèvre et Pierre Guillaume-Sage. Photo : DR
Cédric Fèvre a un peu plus de bouteille. A 40 ans, le Saône-et-Loirien (71) disputera ses 4es Jeux à Paris cet été. Titré à Londres il y a 12 ans, il a mis du temps à digérer sa médaille. Il s’était même totalement raté à Rio quatre ans plus tard, terminant à une anecdotique 19e place. Mais le quadragénaire, atteint d’une Spina Bifida, une malformation congénitale qui le paralysie des deux jambes, n’est pas du genre à abandonner. De retour sur le pas de tir en 2021 Tokyo, il a manqué la médaille d’un rien (4e). Il compte bien remonter « sur la boite » à Paris.
Pour suivre Pierre-Guillaume Sage :
Dimanche 1er septembre à 11h30 : Qualifications (R5 10m Carabine à air SH2). Finale à 15h00
Pour suivre Cédric Fèvre :
Dimanche 1er septembre à 9h30 : Qualifications (R3 10m Carabine SH1). Finale à 13h00
Jeudi 5 septembre à 9h30 : Qualifications (R6 50m Carabine SH1). Finale à 11h45
Volley-assis : Séverine Baillot pour une première
Son palmarès est encore vierge. Et pour cause. Il y a encore trois ans, Séverine Baillot, aide-soignante de métier, pouvait randonner en montagne ou monter à cheval, sa passion. Son destin a basculé en mai 2021. Victime d’un accident de la route, elle est finalement amputée de la jambe gauche début 2023.
Séverine Baillot, internationale française de volley assis. Photo : DR
Durant 26 mois d’épreuves psychologiques et physiques, elle entend son chirurgien lui affirmer que sa vie d’avant est terminée mais qu’elle a la chance d’en débuter une nouvelle et d’en faire ce qu’elle veut. C’est un déclic. Elle s’ouvre au monde, rencontre le président de la section volley-ball de l’ASPTT Besançon (25) Eric Talfer, s’entraîne plusieurs fois par semaine, se prend au jeu. Elle progresse vite, si bien qu’elle est convoquée en août 2023 pour suivre un stage avec les Bleues de Yohann Escala. Depuis, elle ne quitte plus le groupe France et s’apprête à vivre son rêve paralympique.
Pour suivre Séverine Baillot :
Vendredi 30 septembre, 20h00 : France / Italie
Dimanche 1er septembre, 20h00 : France / Etats-Unis
Mardi 3 septembre, 20h00 : France / Chine
Mercredi 4 septembre : matchs de classement (12h00 ou 18h00)
Jeudi 5 septembre : demi-finale (18h00 ou 20h00)
Samedi 7 septembre : finale pour le bronze (15h00) et finale pour l’or (19h30)
Tir à l’arc : Dans le mille avec Maxime Guérin
Le benjamin de l’équipe de France de tir à l’arc fait son retour aux Jeux Paralympiques. Après une 17e place à Rio en 2016, le Dijonnais (21) s’apprête à vivre une deuxième Olympiade. Il a changé d’arme, puisqu’il est passé de l’arc classique à l’arc à poulie. Il sera engagé dans l’épreuve individuelle avec Thierry Joussaume. Il sera aussi associé à Julie Rigault Chupin en équipe mixte. Maxime est le numéro un français de la discipline et occupe aujourd’hui le 13e rang mondial. S’il peut nourrir de légitimes ambitions sur les épreuves individuelles, c’est surtout en équipe que le charentais d’origine est attendu : la France a été sacrée championne d’Europe en 2023 et visera un podium à Paris.
Maxime Guérin. Photo : DR
Pour suivre Maxime Guérin :
Jeudi 29 août, 17h00 : match de classement
Vendredi 30 août, 15h30 : 1/16ème de finale
Dimanche 1er août : 1/8ème de finale (15h30), quart de finale (17h45), demi-finale (19h10), finale pour le bronze (19h43), finale pour l’or (20h00)
Lundi 2 septembre : épreuve par équipe mixte : 1/8ème de finale (15h30), quart de finale (16h50), demi-finale (18h10), finale pour le bronze (19h05), finale pour l’or (19h25)
Goalball : On suivra Gwendoline Matos et Loïse Rondepierre
Sport réservé aux déficients visuels, le goalball se joue en 3 contre 3 en intérieur, avec un ballon rempli de grelots : l’objectif est de marquer des buts dans les cages adverses en propulsant le ballon à la manière d’un lancer de bowling. Deux de nos représentantes font partie de l’équipe de France.
La bisontine (25) Gwendoline Matos a découvert le goalball en 2017 et intégré l’équipe de France l’année suivante. Elle n’a plus quitté les Bleues depuis, et ne rêve que d’une chose : vivre l’aventure de Paris 2024. Licenciée au sein de l’Association sportive et culturelle des centres de Bregille (ASCCB), Gwendoline a terminé meilleure marqueuse du dernier championnat de France.
Loïse Rondepierre et Gwendoline Matos. Photo : DR
Atteinte d’une maladie génétique qui touche la rétine et altère la vision centrale depuis son enfance, Loïse Rondepierre a intégré l’équipe de France de en 2020. Architecte dans la vie, elle va participer à ses premiers Jeux Paralympiques cet été. Née à Mâcon (71), elle joue désormais pour le club sportif Valentin Haüy de Lyon.
Huit équipes seront en lice à Paris : la France, le Japon, le Canada, le Brésil, la Turquie, la Chine, la Corée du sud et Israël. La France ne partira pas favorite face aux autres nations, pour la plupart professionnelles. Mais à domicile, nos Françaises veulent vivre leur rêve.
Pour suivre Loïse Rondepierre et Gwendoline Matos :
Jeudi 29 août, 14h45 : France / Canada
Samedi 31 août, 19h00 : France / Corée
Dimanche 1er septembre, 19h00 : France / Japon
Mardi 3 septembre : matchs de classement et quarts de finale
Mercredi 4 septembre : demi-finales (15h15 et 19h45)
Jeudi 5 septembre : finale pour le bronze (15h), finale pour l’or (17h45)
Judo – Sandrine Martinet : la passe de 6 ?
Difficile de résumer la carrière sportive de Sandrine Martinet, débutée il y a plus de 20 ans maintenant. Atteinte de déficience visuelle, la Mâconnaise (71) a presque tout gagné. En 5 Olympiades, elle a ramené 4 médailles, dont l’or de Rio en 2016. Quatre ans après avoir échoué en demi-finale à Londres en se brisant la malléole en demi-finale…
A l’occasion des Jeux Paralympiques de Tokyo 2020, elle est désignée porte-drapeau de la délégation française aux côtés de Stéphane Houdet, joueur de tennis fauteuil. Elle a ramené une nouvelle médaille d’argent du Japon.
Sandrine Martinet avait été sacrée à Rio en 2016. Photo : DR
Toujours en activité, Sandrine s’est aujourd’hui lancé le défi incroyable de briller lors de ses sixièmes Jeux Paralympiques, à Paris 2024. Numéro 2 mondiale, elle ne visera ni plus ni moins que l’or pour clore une carrière exceptionnelle.
Pour suivre Sandrine Martinet (J2 / – 48kg) :
Jeudi 5 septembre : Quart de finale (à partir de 10h18), demi-finale (à partir de 11h36), combat pour le bronze (à partir de 17h38), combat pour l’or (17h53)
Para-canoé : Rémy Boullé vise l’or
Ancien commando de l’Armée de l’air et membre de l’équipe de France de parachutisme, Rémy Boullé a défendu les intérêts de la France en opération en Afghanistan, au Mali, au Niger ou encore au Tchad. À l’âge de 26 ans, il devient paraplégique à la suite d’un accident de parachutisme. Pour accélérer sa reconstruction, le Haut-Saônois né à Lure (70) s’investit dans le sport et se tourne vers le para canoë-kayak. Son défi : participer aux Jeux Paralympiques de Rio 2016. Il réussit cet exploit et finit 5e de la finale du 200 m. Quatre ans plus tard, il remporte la médaille de bronze aux Jeux de Tokyo. Aujourd’hui installé à Orléans, il est membre de l’armée des champions et n’a qu’un seul objectif à Paris cet été : la médaille d’or.
Sacré vice-champion du monde en mai dernier, le Haut-Saônois espère décrocher le graal à Paris. Photo : DR
Pour suivre Rémy Boullé (KL1 / 200 m) :
Vendredi 6 septembre : séries (10h00)
Samedi 7 septembre : demi-finale (10h), finale A (11h28), finale B (11h20)
Tennis de table : Julien Michaud est attendu sur le double
Il en rêvait. A 44 ans, Julien Michaud a gagné le droit de disputer ses premiers jeux paralympiques cet été. Désormais installé dans les Pyrénées, le natif de Besançon (25) fera notamment la paire avec Fabien Lamirault (numéro 1 mondial), avec qui il est allé gagner le titre européen l’an dernier en Angleterre. Un seul objectif pour le duo cet été : la médaille d’or.
A 44 ans, Julien Michaud va vivre sa première expérience paralympique. Photo : DR
Pour suivre Julien Michaud :
Jeudi 29 août, à partir de 12h15 : quart de finale double hommes (MD4)
Vendredi 30 août, 17h00 : demi-finale double hommes (MD4)
Samedi 31 août, 17h00 : Finale double hommes (MD4)
Dimanche 1er septembre, 19h15 : Seizième de finale simple hommes (MS2)
Lundi 2 septembre, à partir de 10h45 : Huitième de finale simple hommes (MS2)
Mardi 3 septembre, à partir de 13h00 : quart de finale simple hommes (MS2)
Mercredi 4 septembre, à partir de 17h00 : demi-finale simple hommes (MS2)
Jeudi 5 septembre, 13h00 : finale simple hommes (MS2)
Hand-bike : Johan Quaile, la confirmation ?
Né à Montbéliard (25), Johan ne pratiquait aucun sport avant de découvrir le hand-bike (un vélo où l’on est couché et que l’on tracte à la force des bras) en centre de rééducation en 2013. Une véritable découverte. Il s’inscrit dans le club de l’ASF Mulhouse et s’entraine dur : 15 à 20 heures par semaine.
Il obtient sa première qualification aux championnats du monde Glasgow en 2023 après de très bons résultats en coupe du monde. Ses belles performances à Glasgow en individuel conclues par un titre mondial en relais lui ouvrent les portes des Jeux de Paris 2024 : rendez-vous les 4, 5 et 7 septembre à Clichy-sous-Bois pour suivre notre Doubiste !
Johan Quaile (au centre) est champion du monde par équipe de hand-bike. Photo : DR
Pour suivre Johan Quaile :
Mercredi 4 septembre : contre la montre individuel
Jeudi 5 septembre : course sur route individuel
Samedi 7 septembre : relais par équipe mixte
Basket fauteuil – Alexis Ramonet : dans les pas de Wemby
Né avec une malformation de la jambe gauche, Alexis Ramonet a fait de son handicap une force ; ce passionné de sport (il s’entraine environ 20h par semaine) a joué jusqu’à 19 ans sous les couleurs de la JDA Dijon. Parti rejoindre Bordeaux puis le Canet, c’est en Espagne, à Gan Canaria, qu’il performe aujourd’hui au plus haut niveau international.
Inspiré par les Bleus de Victor Wembanyama, Alexis Ramonet espère ramener une médaille pour la France en basket fauteuil. Photo : Emilie Haas
Membre de l’équipe de France depuis quelques saisons, il participe à l’aventure des qualifications pour les Jeux Paralympiques en avril dernier. Il sera l’un des cadres des Bleus à Paris.
Pour suivre Alexis Ramonet :
France / Canada : vendredi 30 août, à 18h15
France / Allemagne : samedi 31 août, 21h30
France / Grande Bretagne : lundi 2 septembre, 19h15
¼ de finale : mardi 3 septembre
½ finale : jeudi 5 septembre (16h00 ou 21h30)
Finales (bronze 16h00 et or 21h30) : samedi 7 septembre
Tennis fauteuil – Gaëtan Menguy n’a rien à perdre
A la suite d’un accident de motocross en 2004, Gaëtan Menguy est diagnostiqué paraplégique incomplet. Le vésulien (70) découvre le tennis fauteuil en 2008 après avoir longtemps pratiqué le basket fauteuil. Consciencieux et travailleur, il s’entraine quotidiennement pour parvenir à ses objectifs ambitieux, jusqu’à sa participation à ses premiers Jeux Paralympiques à Tokyo en 2021. Eliminé en 32ème de finale, il y a trois ans, il veut franchir un nouveau cap à Paris, en simple comme en double.
Né à Vesoul (70), Gaëtan Menguy est désormais pensionnaire du club de Saint-Hilaire-de-Riez (Vendée). Photo : DR
Pour suivre Gaëtan Menguy :
Son programme sera communiqué la veille de chaque épreuve